Text: s. 97/98 "Il ne restait alors qu'une fille, sa cousine germaine, Marie-Félicité, qui apportant dans sa dot les biens des Jauche, situés en Artois et en Flandre, les donnera àla maison de Merode où elle entrera par son mariage avec Joachim, marquis de Deynze.De son mariage avec Marie-Philippine de Merode, la fille de Joachim qui avait épousé en secondes noces la cousine germaine de sa mère, Henri Othon n'avait eu qu'une fille Marie-Félicité d'Ongnies de Mastaing....
Il avait perdu en 1768 sa mère, puis l'année suivante sa femme. Il mourait chargé d'honneurs en 1791, au moment où la Révolution française allait de nouveau jeter ses regards vers les Pays-Bas; sa fille avait épousé en 1778 à Everbegh, en Belgique, le comte Guillaume Charles-Ghislain de Merode (1), sur elle et ses enfants devaient se concentrer les héritages de toute la maison de Jauche-Mastaing, du moins ce que la Révolution après les ruines
qu'elle aurait accumulées dans les Pays-Bas comme
en France, voulut bien laisser subsister.