1. Familie Herlin / Heerlien / Herlijn / Herlyn

Wappen_de_Gosson

Pasquier de GossonAlter: 60 Jahre15401600

Name
Pasquier de Gosson
Vornamen
Pasquier
Nachname
de Gosson
Geburt um 1540 45 30

Veröffentlichung: publies par Société d'agriculture, des sciences et arts de Douai PAR UN COMITÉ HISTORIQUE ET ARCHÉOLOGIQUE (Bd. 1-19)
Text:
Bd. 15, S. 35 "Gaspard Gosson ... avait épousé Roberte le Flon, dit de la Tramerie, qui fit son testament le 4 décembre 1554. Il ne laissa qu'un fils : Pasquier Gosson, qui suit."
Geburt eines Sohns
#1
Marie de Gosson

Geburt eines Sohns
#2
Hugues de Gosson

Geburt einer SchwesterMarie de Gosson
um 1545 (Alter 5 Jahre)

Tod eines VatersGaspard de Gosson
um 1555 (Alter 15 Jahre)

HeiratAnne le CointeDiese Familie ansehen
Dezember 1567 (Alter 27 Jahre)

Veröffentlichung: publies par Société d'agriculture, des sciences et arts de Douai PAR UN COMITÉ HISTORIQUE ET ARCHÉOLOGIQUE (Bd. 1-19)
Text:
Bd. 15, S. 35 ff. "Pasquier Gosson, écuyer, sgr du Petit-Preel et de Heuneville, alors Rumainville, licencié ès lois, échevin d'Arras; en 1575, 1584, 1586, 1588, 1590, 1597, fut maintenu dans sa noblesse par sentence de l'élection d'Artois en 1585, ainsi que Marie Gosson, sa cousine. Il existait encore en 1607, car nous le trouvons en cette année parrain de Madeleine de Frécourt. En décembre 1567, il épousa Anne le Cointe, dame du Petit-Preel, dont il laissa les cinq enfants suivants : 1° Philippe Gosson, qui suit. 2° Pascal Gosson, écuyer, sgr de la Motte, licencié ès lois, avocat postulant au conseil d'Artois... 3° Hugues Gosson auteur de la troisième branche. 4° Charles Gosson, écuyer, sgr de Balloy, qui récréanta la bourgeoisie d'Arras, le 17 septembre 1608, paroisse Saint-Jean. 5° Marie Gosson, mariée à Arras, paroisse St.-Jean en Ronville,le 27 janvier 1592, à Philippe Thieulaine, écuyer..."
Tod einer EhefrauAnne le Cointe
nach 1570 (Alter 30 Jahre)

Geburt eines Sohns
#3
Philippe de Gosson
um 1580 (Alter 40 Jahre)

Stand
anobli
1. Juni 1585 (Alter 45 Jahre)

Notiz:
SENTENCE DES ELUS D'ARTOIS DECLARANT NOBLES ET EXTRAITS DE NOBLE GENERATION ET LIGNEE MESSIRE PASQUIER DE GOSSON ET MARIE DE GOSSON - du 1er Juin 1585 - A tous ceulz quy ces présentes verront, les Esleuz sur le faict des Aydes ordinaires et extraordinaires accordeez ès pays et conté d'Arthois, Saint Pol, Guisnes, Boullenois, ressors et enclavements d'iceulz, Salut. Comme procès, se soit meu, instruict et conclud en droict pardevant Nous d'entre Me Pasquier GOSSON, licencié ès-loix, seigneur de Rumenville et damoiselle Marie GOSSON, damoiselle de Melcastel, demandeurs, d'une part; et le Procureur du Roy, nostre sire, en icelle Election, deffendeur, d'autre.Sur ce que lesdictz demandeurs disoient combien qu'ilz fussent nobles et extraictz de noble génération partant non sudmis au paiement du droict de nouvel acquest, pour les fiefz et seignoiries par eulz et leurs prédecesseurs acquis depuis quarante ans encha; que néantmoins les commissaires de sa Majesté les auroient naguères comprins ( comme autres plébéens ) au tax d'icelluy droict, qu'ils auroient esté contrainctz namptir nonobstant leur opposition, les renvoyant. Iceulz commissaires, pardevant nous comme Juges compectens pour y instruire leur procès, selon qu'ilz trouveroient convenir. Suyvant quoi auroient faict adjourné ledit Procureur du Roi au plaidz du noeufvièsme de juin mil cincq cens quattre vingtz et quatte. Auquel jour fut pour eulz conclud ad ce que par nostre sentence diffinitive ils fussent déclarez Nobles, yssus de nobles générations et lignée à effect de jouyr et user de tous droictz, franchises, privilèges et immunitez afférens à ladite noblesse, signament de l'exemption d'icelluy droict de nouvel acquest, faisant en cas de contredict demande de dépens. Sur quoy ledit Procureur auroit prins conclusion contraire, tendant à ce qu'ilz fussent déclairés non recepvables; que sy recepvables estoient, que non à tort l'avoient mis en cause aux fins par eulz prétendues, dont ilz seroient debaitez et condemptés es dépens par les moyens par chacun d'eulz verballement alléguez nonobstant quoy lesd. demandeurs auroient persistez pour réplicques en leurs fins et conclusions; de manières que pour la contrariété de leurs d. faictz; raisons et moyens leur fut ordonné respectivement les coucher par écript par forme d'Intendit communicatif et en servir par devers la Court, puis sur iceulz faire telle preuve et enqueste que bon leur sembleroit. Suyvant quoy, chacunes desd. parties auroit servy d'intendit à la Court; disans lesd. demandeurs par icelluy pour fondement de leur intention que par usance, observation et voix commune en ce pays d'Arthois, ceulz quy de tamps immémorial descendoient de seigneurs et gens fondez en dignitez de seignourie et justice successivement possédées et continues de degré en degré de si longtemps que n'estoit mémoire du contraire et qui estoient tenus et répertez yssus de quelque noble et anchienne rache et parentaige, telles personnes et leurs successeurs estoient communément tenuz réputez et comprins au nombre des Nobles et non point en nombre de Plébéens mécanicques et roturiers. Or, pour monstre qu'ile étoient descenduz de nobles prédescesseurs et affin de faire particulière déduction de la noble et anchienne famille de laquelle ils avoient prins et tiré leur origine, disoient qu'ils feroient apparoir que Jacqemart GOSSON et damoiselle Marguerite de NOEUFVILLE, sa femme, leurs trissayeulz, doiz y a sept à huit vingtz ans estoient seigneurs de Noeufville au-Cornet-lez-Saint Pol, faisans leur résidence en icelle ville au tamps de leur vielesse; de la conjonction desquelz fut procrée Hues GOSSON, quy, successivement après leur trépas fut seigneur dudit Noeufville; lequel print sa résidence au villaige d'Ambrines ( dont son père était natif ) . auquel lieu paravant son trépas se transporta à son mand. la loy Eschevinalle d'Avesnes-le-Comte pour récepvoir et passer son testament (qui estoit en date du vingtième jour d'avril mil quattre cens quattre vingtz et après Pacques.) Icelluy Hues fait partaige de ses fiefz, seignouries et héritages à ses enffans, assignant à Jehan, son fils aisné la dicte terre et seignourie de Noeufville au Cornet; à Anthoine GOSSON et autres enffans puisnez plusieurs fiefz, terres et héritages séans audict Ambrines, Sars et allenviron; à charge de renonchier au quint de la dicte terre et seignourie de Noeufville au prouffit d'icelluy Jehan leur frère aisné, pour conserver icelle entière au chef de sa famille comme il est péculier à gens de Noblesse.
Tod nach 1600 (Alter 60 Jahre)

Familie mit Eltern - Diese Familie ansehen
Vater
Mutter
Heirat: um 1530
11 Jahre
er selbst
6 Jahre
jüngere Schwester
Familie mit Anne le Cointe - Diese Familie ansehen
er selbst
Ehefrau
Heirat: Dezember 1567
13 Jahre
Sohn
Sohn
Sohn

GeburtSouvenirs de la Flandre-Wallone RECHERCHES HISTORIQUES ET CHOIX DE DOCUMENTS RELATIFS A DOUAI ET AUX ANCIENNES PROVINCES DU NORD DE LA FRANCE
Veröffentlichung: publies par Société d'agriculture, des sciences et arts de Douai PAR UN COMITÉ HISTORIQUE ET ARCHÉOLOGIQUE (Bd. 1-19)
Text:
Bd. 15, S. 35 "Gaspard Gosson ... avait épousé Roberte le Flon, dit de la Tramerie, qui fit son testament le 4 décembre 1554. Il ne laissa qu'un fils : Pasquier Gosson, qui suit."
HeiratSouvenirs de la Flandre-Wallone RECHERCHES HISTORIQUES ET CHOIX DE DOCUMENTS RELATIFS A DOUAI ET AUX ANCIENNES PROVINCES DU NORD DE LA FRANCE
Veröffentlichung: publies par Société d'agriculture, des sciences et arts de Douai PAR UN COMITÉ HISTORIQUE ET ARCHÉOLOGIQUE (Bd. 1-19)
Text:
Bd. 15, S. 35 ff. "Pasquier Gosson, écuyer, sgr du Petit-Preel et de Heuneville, alors Rumainville, licencié ès lois, échevin d'Arras; en 1575, 1584, 1586, 1588, 1590, 1597, fut maintenu dans sa noblesse par sentence de l'élection d'Artois en 1585, ainsi que Marie Gosson, sa cousine. Il existait encore en 1607, car nous le trouvons en cette année parrain de Madeleine de Frécourt. En décembre 1567, il épousa Anne le Cointe, dame du Petit-Preel, dont il laissa les cinq enfants suivants : 1° Philippe Gosson, qui suit. 2° Pascal Gosson, écuyer, sgr de la Motte, licencié ès lois, avocat postulant au conseil d'Artois... 3° Hugues Gosson auteur de la troisième branche. 4° Charles Gosson, écuyer, sgr de Balloy, qui récréanta la bourgeoisie d'Arras, le 17 septembre 1608, paroisse Saint-Jean. 5° Marie Gosson, mariée à Arras, paroisse St.-Jean en Ronville,le 27 janvier 1592, à Philippe Thieulaine, écuyer..."
Stand
SENTENCE DES ELUS D'ARTOIS DECLARANT NOBLES ET EXTRAITS DE NOBLE GENERATION ET LIGNEE MESSIRE PASQUIER DE GOSSON ET MARIE DE GOSSON - du 1er Juin 1585 - A tous ceulz quy ces présentes verront, les Esleuz sur le faict des Aydes ordinaires et extraordinaires accordeez ès pays et conté d'Arthois, Saint Pol, Guisnes, Boullenois, ressors et enclavements d'iceulz, Salut. Comme procès, se soit meu, instruict et conclud en droict pardevant Nous d'entre Me Pasquier GOSSON, licencié ès-loix, seigneur de Rumenville et damoiselle Marie GOSSON, damoiselle de Melcastel, demandeurs, d'une part; et le Procureur du Roy, nostre sire, en icelle Election, deffendeur, d'autre.Sur ce que lesdictz demandeurs disoient combien qu'ilz fussent nobles et extraictz de noble génération partant non sudmis au paiement du droict de nouvel acquest, pour les fiefz et seignoiries par eulz et leurs prédecesseurs acquis depuis quarante ans encha; que néantmoins les commissaires de sa Majesté les auroient naguères comprins ( comme autres plébéens ) au tax d'icelluy droict, qu'ils auroient esté contrainctz namptir nonobstant leur opposition, les renvoyant. Iceulz commissaires, pardevant nous comme Juges compectens pour y instruire leur procès, selon qu'ilz trouveroient convenir. Suyvant quoi auroient faict adjourné ledit Procureur du Roi au plaidz du noeufvièsme de juin mil cincq cens quattre vingtz et quatte. Auquel jour fut pour eulz conclud ad ce que par nostre sentence diffinitive ils fussent déclarez Nobles, yssus de nobles générations et lignée à effect de jouyr et user de tous droictz, franchises, privilèges et immunitez afférens à ladite noblesse, signament de l'exemption d'icelluy droict de nouvel acquest, faisant en cas de contredict demande de dépens. Sur quoy ledit Procureur auroit prins conclusion contraire, tendant à ce qu'ilz fussent déclairés non recepvables; que sy recepvables estoient, que non à tort l'avoient mis en cause aux fins par eulz prétendues, dont ilz seroient debaitez et condemptés es dépens par les moyens par chacun d'eulz verballement alléguez nonobstant quoy lesd. demandeurs auroient persistez pour réplicques en leurs fins et conclusions; de manières que pour la contrariété de leurs d. faictz; raisons et moyens leur fut ordonné respectivement les coucher par écript par forme d'Intendit communicatif et en servir par devers la Court, puis sur iceulz faire telle preuve et enqueste que bon leur sembleroit. Suyvant quoy, chacunes desd. parties auroit servy d'intendit à la Court; disans lesd. demandeurs par icelluy pour fondement de leur intention que par usance, observation et voix commune en ce pays d'Arthois, ceulz quy de tamps immémorial descendoient de seigneurs et gens fondez en dignitez de seignourie et justice successivement possédées et continues de degré en degré de si longtemps que n'estoit mémoire du contraire et qui estoient tenus et répertez yssus de quelque noble et anchienne rache et parentaige, telles personnes et leurs successeurs estoient communément tenuz réputez et comprins au nombre des Nobles et non point en nombre de Plébéens mécanicques et roturiers. Or, pour monstre qu'ile étoient descenduz de nobles prédescesseurs et affin de faire particulière déduction de la noble et anchienne famille de laquelle ils avoient prins et tiré leur origine, disoient qu'ils feroient apparoir que Jacqemart GOSSON et damoiselle Marguerite de NOEUFVILLE, sa femme, leurs trissayeulz, doiz y a sept à huit vingtz ans estoient seigneurs de Noeufville au-Cornet-lez-Saint Pol, faisans leur résidence en icelle ville au tamps de leur vielesse; de la conjonction desquelz fut procrée Hues GOSSON, quy, successivement après leur trépas fut seigneur dudit Noeufville; lequel print sa résidence au villaige d'Ambrines ( dont son père était natif ) . auquel lieu paravant son trépas se transporta à son mand. la loy Eschevinalle d'Avesnes-le-Comte pour récepvoir et passer son testament (qui estoit en date du vingtième jour d'avril mil quattre cens quattre vingtz et après Pacques.) Icelluy Hues fait partaige de ses fiefz, seignouries et héritages à ses enffans, assignant à Jehan, son fils aisné la dicte terre et seignourie de Noeufville au Cornet; à Anthoine GOSSON et autres enffans puisnez plusieurs fiefz, terres et héritages séans audict Ambrines, Sars et allenviron; à charge de renonchier au quint de la dicte terre et seignourie de Noeufville au prouffit d'icelluy Jehan leur frère aisné, pour conserver icelle entière au chef de sa famille comme il est péculier à gens de Noblesse.
Notiz
.... de Gosson ... S. 71 ff. "Pasquier de Gosson, écuyer, seigneur du Petit-Preelle et de Rumenville, alors Rumainville (1), licencié ès-lois, échevin d'Arras en 1575, 1584, 1588, 1590, 1597, fut maintenu dans sa noblesse par sentence de l'Election d'Artois en 1585, ainsi que Marie de Gosson, sa cousine. En 1582, messire Pasquier de Gosson, était mayeur de la confrérie de Notre-Dame-des-Ardents à Arras. En 1607, nous le trouvons parrain de Madeleine de Frémecourt (2). En décembre 1567, il épousa Anne Le Cointe ou Marie Le Cointe, dite Ponthieu (Voir Dom Le Pez), dame du Petit-Preel, laquelle portait : « Ecartelé ; aux « premier et quatrième d'argent au chevron de « sable accompagné de trois merlettes ; aux « deuxième et troisième de Ponthieu qui est « d'or à trois bandes d'azur à la bordure de (( gueules. )) De ce mariage,illaissales cinq enfants suivants : I° Philippe de Gosson, qui suit."
MedienobjektWappen_de_GossonWappen_de_Gosson
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Bildmaße: 148 × 159 Pixel
Dateigröße: 68 kB
Typ: Wappen
Hervorgehobenes Bild: ja
Veröffentlichung: Archiv Municipale de Valenciennes, 1862
Text:
Bd. V, p. 683