1. Familie Herlin / Heerlien / Herlijn / Herlyn

20 Jg. (1866), S. 86 ff. 'SEIGNEURS DE LA MOUZELLE' "Simon le Boucq, seigneur de la Mouzelle, historien de Valenciennes, était fils de Richard et d’Ursule Puchot. Né à Valenciennes le 15 juin 1591 ..."

s. 248 ff. "SIMON LE BOUCQ, Ecuyer, seigneur de la Mouzelle, Prevot et historien de la ville de Valenciennes. Voici en quels termes en parient les Archives du nord de la France (2me serie,tome IV, page 509). Nous avons cru pouvoir emprunter a ce recueil 1’article suivant, dans lequel le caractere du prevot historien, dont la vie se passa presqu’entierement au milieu de ses concitoyens, est fidelement trace (1). Simon Le Boucq, ecuyer, seigneur de la Mouzelle, petit-fils de Noel, eut pour pere Richard et pour mere Ursule Pu chot; il naquit a Valenciennes, le 15 juin 1591, dans la rue des Etuves, aujourd’hui supprimee et reunie a la petite place des Rhonneaux, dans une maison construite en bois et it porte cochere, surmontee des armoiries sculptees des Le Boucq (2)." (2) Cette demeure, d'mnlie et rebatie dans le gout moderne par M. Dufont pere, au commencement de ce siecle, est aujourdhui habitee par M. Dubois, notaire.

20 Jg. (1866), S. 86 ff. - SEIGNEURS DE LA MOUZELLE -. "Simon le Boucq renseignements de toute nature sur sa ville natale ... Il avait épousé Catherine Deulin, dame de la Mouzelle, morte le 3 janvier 1622, fille de Jacques et Anne de Cordes. De leur union provinrent : 1° Denis, qui suit. 2° Jeanne, née à. Valenciennes, le 6 octobre 1620, morte le 13 décembre 1652, mariée en 164331 François Michel, seigneur de Neufrue, capitaine des bourgeois, puis prévôt de Valenciennes. 3° Anne—Dominique, religieuse au couvent de Beaumont à Valenciennes, morte le 18 janvier 1655, étant professe depuis 20 ans. "

20 Jg. (1866), S. 86 ff. "Simon le Boucq, seigneur de la Mouzelle, historien de Valenciennes, était fils de Richard et d’Ursule Puchot. Né à Valenciennes le 15 juin 1591, il fut échevin de cette ville en 1618, 1622, 1625, 1628, 1631, lieutenant de la prévôté en 1637 et 1641, prévôt en 1644, 1647 et 1651...."

s. 299 ... prévôt de Valenciennes en 1644, 1647, 1651 ...

S. 1 "Le prévôt de la ville était le chef ou président du magistrat, composé en outre de douze échevins, qui portaient le titre de jurés, lorsqu'ils exerçaient la juridiction criminelle. D'Outreman: 'Histoire de la ville et comté de Valenciennes. — Coutumes de Valenciennes.' S. 11 "3 Le prévôt le Comte était l'officier du prince chargé de veiller à l'exécution régulière des lois et des règlements. Il exerçait la juridiction criminelle comme semonceur, ou officier du ministère public; il faisait détenir les délinquants en la prison dite Burianne, et tenait la main à l'exécution des jugements ; elle avait lieu, suivant les cas, dans la ville ou au rolleur; il avait aussi une juridiction civile. Cette charge ancienne, et aussi honorable qu'importante, était confiée à la première noblesse du pays ; ainsi on voit figurer sur la liste des prévôts le Comte, les noms de Mastaing, d'Audregnies, de Vendegies, de Lalaing, de Lannoy, seigneurs de Maingoval, de Henin de Boussu, de Mérode, etc."

Bd. 11 (1871), S. 40 ff. "Ils sont tirés de l'ouvrage inédit de Simon Le Boucq, qu'on désigne ordinairement sous le titre d'Histoire civile de Valenciennes. Simon Le Boucq, écuyer, prévôt (ou maire) de Valenciennes en 1644, 1647 et 1651, mort en 1657, qu'on a justement surnommé l'historien de Valenciennes, nous est surtout connu par son Histoire ecclésiastique, qui a fait l'objet d'une publication magnifique éditée en 1844; mais l'infatigable archéologue valenciennois, qui consacra à l'étude et à la recherche des antiquités de sa chère cité tous les instants que laissaient libres la direction des affaires municipales, a produit un grand nombre d'oeuvres qui sont demeurées inédites (Voir la longue liste des oeuvres de Simon Le Boucq, pages 257 à 268 de la Notice biographique, littéraire et généalogique sur la famille Le Boucq, par M. Amédée Le Bou:q de Ternas, insérée à ]a suite de l'Histoire des choses les plus remarquables, 1596-1674, de Pierre Le Boucq, gentilhomme valenciennois; Douai, 1857. A celte liste, il faut encore ajouter, d'après un passage du ms. qui nous occupe en ce moment, une Histoire de Cambrai, écrite en 1616; l'auteur n'avait alors que 25 ans.) Parmi celles-ci la plus considérable est sans contredit l'Histoire civile, à laquelle nous avons emprunté les documents que nous publions, grâce à l'obligeance éclairée de notre collègue M. Amédée de Ternas, qui aime à mettre en lumière les trésors de son cabinet, au lieu de les cacher soigneusement au public comme tant de collectionneurs inintelligents. Le manuscrit qui nous a été communiqué est une copie faite en 1687, par Pierre-Joseph Le Boucq de Camcourgean, sur l'original écrit tout entier de la main de Simon Le Boucq et conservé aujourd'hui dans la Bibliothèque communale de Cambrai."rité inouïe qu'avaient atteinte, au milieu du xvi° siècle, les villes commerçantes de notre région, engendrant chez la bourgeoisie le goût des dépenses fastueuses et l'amour des récréations coûteuses. Ils sont tirés de l'ouvrage inédit de Simon Le Boucq, qu'on désigne ordinairement sous le titre d'Histoire civile de Valenciennes. Simon Le Boucq, écuyer, prévôt (ou maire) de Valenciennes en 1644, 1647 et 1651, mort en 1657, qu'on a justement surnommé l'historien de Valenciennes, nous est surtout connu par son Histoire ecclésiastique, qui a fait l'objet d'une publication magnifique éditée en 1844; mais l'infatigable archéologue valenciennois, qui consacra à l'étude et à la recherche des antiquités de sa chère cité tous les instants que laissaient libres la direction des affaires municipales, a produit un grand nombre d'oeuvres qui sont demeurées inédites (1) parmi celles-ci la plus considérable est sans contredit l'Histoire civile, à laquelle nous avons emprunté les documents que nous publions, grâce à l'obligeance éclairée de notre collègue M. Amédée de Ternas, qui aime à mettre en lumière les trésors de son cabinet, au lieu de les cacher soigneusement au public comme tant de collectionneurs inintelligents. Le manuscrit qui nous a été communiqué est une copie faite en 1687, par Pierre-Joseph Le Boucq de Camcourgean, sur l'original écrit tout entier de la main de Simon Le Boucq et conservé aujourd'hui dans la Bibliothèque communale de Cambrai."

20 Jg. (1866), S. 86 ff. "SEIGNEURS DE LA MOUZELLE. "Simon le Boucq, seigneur de la Mouzelle, historien de Valenciennes ... Grand amateur de recherches historiques et ayant par sa position officielle et ses relations de famille accès aux archives de la cité et des principaux établissements civils et religieux, il recueillit un nombre considérable de notes et de renseignements de toute nature sur sa ville natale."

20 Jg. (1866) , S. 86/87 "M. Amédée le Boucq de Ternas dit que Simon le Boucq fut anobli par lettres patentes du roi Philippe IV, du 9 juin 1654, avec confirmation du droit de porter pour armes: Écartelé: au 1 et au 4 d'azur à trois ruches d'or, qui est le Boucq ; au 2 et au 3 bandé d'or et d'azur de six pièces, au franc canton de gueules, chargé d'un croissant d'argent, qui est de Noyelles; et sur le tout de gueules à la fasse d'or brisée en coeur d'une (toile d‘azur, à une burelle vivrée d'or, en chef, qui est de Jauche de Mastaing. Cimier: un bouc naissant d‘argent accorné et barbé d’or. Ces lettres patentes ne sont mentionnées ni par Le Roux, ni par le Nobiliaire des Pays—Bas."

20 Jg. (1866), S. 86 ff. "SEIGNEURS DE LA MOUZELLE. "Simon le Boucq ... Simon le Boucq mourut à Valenciennes le ler décembre 1657 et fut enterré à Notre-Dame la Grande, où l'on voit encore son monument surmonté de son buste, magnifique et somptueux témoignage des regrets de son fils Denis le Boucq, seigneur de la Mouzelle, qui fut inhumé dans le même tombeau."

Bd. XI, p. 156